Il n’est pas possible de laisser passer l’analyse faite sur le blog de PUGNACE par BONSENS sans réagir (cf. « le clientélisme, marché noir de la démocratie locale.4. », publié le 28/10/2010).
NON, la mort de Jacques BOUILLE n’est pas la conséquence d’un « système » quelconque qu’ « il » aurait mis en place, elle est la conséquence de son trop long enfermement en isolement dans une cellule de prison, en détention dite provisoire.
Jacques BOUILLE serait sorti de prison à la fin du quatrième mois d’incarcération, il serait aujourd’hui en vie, auprès des siens.
Marie-Antoinette BOUILLE
Pourquoi n'attaquez vous pas Pugnace et son blog en diffamation ?
RépondreSupprimerLa diffamation n'existe pas pour les morts sauf si un média implique un ayant droit.
RépondreSupprimerIl reste toutefois le préjudice moral et le droit à l'image qui peut conduire le média fautif à verser des dommages et intérêts à la famille de la victime.
C'est pour cette raison que nous déplorons le fait que certaines personnes continuent à s'acharner sur un mort -c'est à la fois si lâche et si facile !- en sachant pertinemment qu'elles ne risquent pratiquement rien. On peut dire tout et n'importe quoi : et c'est bien ce qui se fait depuis longtemps maintenant, sur les blogs ou même dans la presse.
RépondreSupprimerMme Bouille, sur le conseil de son avocat, a déjà écrit en recommandé, une première fois, à propos d'un précédent article, à M. Jouandet, administrateur du blog Pugnace. Lettre qu'il avait immédiatement publiée in extenso sur son blog... En ce qui concerne ce nouvel article, Mme Bouille a, à nouveau, envoyé une lettre en recommandé avec AR, lui demandant de bien vouloir inviter le rédacteur à modifier les propos publiés. Le texte a été légèrement corrigé : quelques mots ont été retirés, mais le sens demeure -volontairement et malheureusement- le même ! D'où cet article de rectification que nous publions ici.
Nous n'avons pas l'intention d'entamer une "guerre des blogs", ce n'est pas l'objectif de ce site, nous laissons donc M. Jouandet exploiter son fonds de commerce. Le mentionner ici lui fait déjà suffisamment de "publicité", et nous ne souhaitons pas lui consacrer davantage d'énergie.
Cependant, pour ce qui est du préjudice moral, la famille y réfléchit effectivement...