Merci à tous ceux qui, régulièrement, nous abordent parce qu'ils souhaitent nous dire que Jacques Bouille leur "manque beaucoup", et que "c'était un vrai Monsieur".
Nous n'en aurons pas bénéficié -et l'on sait à quoi cela a conduit-, mais on ne peut que se réjouir des évolutions récentes de la législation, de la révélation claire des moyens auxquels la justice a recours ainsi que de la dénonciation du scandale pénitentiaire dans notre pays.
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→ le 13 août 2011 encore, une réaction particulièrement pertinente dans Le Monde.