"Ceux qui voulaient me briser y sont parvenus..."
extrait de la dernière lettre de Jacques Bouille à sa famille





mardi 26 juillet 2011

Droit de réponse ? (suite)


A la suite de la demande de "droit de réponse" adressée au directeur de la publication de L'Indépendant (voir article précédent), un courrier a été envoyé à M. le Procureur Adjoint de Perpignan par un des avocats de la famille Bouille, Maître Dartevelle.


(cliquer pour agrandir)


Ce courrier est également resté jusqu'ici sans réponse.

mercredi 6 juillet 2011

Requête devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme


Nous sommes aujourd’hui amenés à déposer devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme une requête demandant que nous soient enfin rendus les restes de Jacques Bouille, prélevés de manière conséquente lors de son autopsie en mai 2009 (voir article précédent).

Cet article n’a rien de malsain, même s'il va de soi qu'il dérange, et comment pourrait-il en être autrement ? Il traite d’un sujet difficile, qui n’est autre que la réalité, pourtant. Réalité atroce, certes, qui n’en demeure pas moins un problème criant, et déplorablement occulté, qu’endurent chaque jour des hommes et des femmes de notre pays. Et comment en faire prendre conscience à l’opinion, si ce n’est en l’exposant publiquement ?

Afin que l’on n’attente pas à la dignité humaine, à la vie privée et familiale,
afin que soit respecté le droit à l’intégrité physique de la dépouille,
afin que les droits de l’homme et les libertés fondamentales soient sauvegardés,
afin que la loi française, qui impose cela pour une question de simple commodité !, à de nombreuses autres familles soit, peut-être, amenée progressivement à évoluer enfin,

une petite voix, parmi tant d’autres. Une pierre ajoutée.
Une mobilisation.
Nécessaires.


Et non pas, espérons-le, seulement un cri dans le désert.


Famille Bouille