"Ceux qui voulaient me briser y sont parvenus..."
extrait de la dernière lettre de Jacques Bouille à sa famille





mardi 2 novembre 2010


Aujourd'hui, tu as soixante-quatre ans. Nous pensons à toi, nous t'aimons.

Ton épouse, tes enfants.





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Est-ce possible ?...

Est-il possible que ton sort ait été scellé sur un terrain de golf ?

M.-A. BOUILLE



3 commentaires:

  1. Madame Bouille, votre dernière phrase est étrange, et semble bien sous-entendre un "arrangement horrible" entre le soi-disant détroneur et "son collègue" de la justice, golfeurs à leurs heures... S'il en était vraiment ainsi, il est clair que le détroneur et son comparse n'auront plus jamais la paix (la paix intérieure). Continuez à relever les indices ! S'il en était ainsi, tôt ou tard, la vérité éclatera, l'étau se resserrant... Est-ce possible ?.... la réponse peut être oui,pour les êtres morbides dépourvus de tout scrupule, mais au final, ils ne seront que l'ombre d'eux mêmes, car le remord détruit aussi les nuisibles.
    C'est aussi de la justice.

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  2. Est ce possible ? Aujourd'hui, rien n'est impossible, dans cette commune, ce département. Le comportement de l'équipe municipale en place, tout en opacité,interpelle réellement. Si tel est le cas, ces bourreaux sont des monstres, sans affect. Et comment peut on vivre si l'on contribue à de telles basses oeuvres ! Est ce possible ! Je me refuse à le croire et pourtant ? Est ce possible?

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  3. A Anonyme du 08/11/10 :
    Vos deux commentaires ont bien été reçus, lus et sont conservés. Cependant, ils ne seront pas publiés pour le moment, leur contenu ne correspondant pas à l'éthique de ce blog. Merci de votre compréhension.

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