"Ceux qui voulaient me briser y sont parvenus..."
extrait de la dernière lettre de Jacques Bouille à sa famille





mardi 21 septembre 2010

Extrait de jugement


Le 16 septembre 2010, la Chambre de l'Instruction de Montpellier a ordonné "main levée de l'obligation faite à Marie-Antoinette ALBERNY épouse BOUILLE lui faisant interdiction d'entrer en relation avec les élus et le personnel municipal de la commune de St CYPRIEN".

2 commentaires:

  1. Philippe Waeselynck26 septembre 2010 à 12:42

    Eh bien voilà...petit à petit, le TGI va se faire infirmer dans son attitude à tous les niveaux...Une telle décision peut se justifier pendant un moment, pas pendant si longtemps. En plus, c'est d'une stupidité sans bornes, puisque si tu rencontres une personne travaillant à la Mairie, tu ne pouvais pas changer de trottoir constamment...Bienvenue à nouveau dans le monde....

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  2. Oui, je suis effectivement ravie de pouvoir enfin saluer "légalement" en retour les personnels municipaux qui me saluent.

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