"Ceux qui voulaient me briser y sont parvenus..."
extrait de la dernière lettre de Jacques Bouille à sa famille





lundi 23 novembre 2009

(3) Quelques exemples de réalisations et (ré)aménagements effectués durant les mandats de Jacques Bouille et de ses équipes municipales :


Sur le plan paysager, St Cyprien a été remodelé par des créations ou des re-créations importantes faisant de la ville un îlot de verdure:
_ les palmiers de l'avenue du Roussillon
_ la place de la République et la place des Evadés
_ les cyprès de la rue Duhamel
_ les magnolias des places de la Prade et de l'avenue du cimetière avec cyprès et rosiers
_ les fontaines déclinant le thème de l'eau
_ camélias et rosiers du jardin de l'église
_ réfection du parvis avec rénovation de l'église du village et de la chapelle de Villerase
_ l'arboretum des Capellans
enfin, le parc de la Prade, véritable trait d'union entre la plage et le village avec parcours sportif et jeux d'enfants, est un lieu de promenade arboré d'essences diverses (pin, mimosa, saule, platane, cyprès, ginkgo biloba, amandier, laurier, etc...) et animé par différentes espèces d'oiseaux aquatiques (cygnes, canards, etc...) évoluant sur trois plans d'eau peuplés de carpes et de d'autres poissons.
_ etc...


Place de la République du village, de jour


Place de la République du village, de nuit


Rond-point fontaine au village


Espace vert à l'entrée de la plage


Rond-point aux jets d'eau à l'entrée de la plage


Allée de cyprès du parc de la Prade


Canards et cygnes du parc de la Prade


Pont japonais de la Prade


La place aux magnolias de la Prade


L'église du village


Le jardin des plantes des Capellans


Avenue du Roussillon au village

18 commentaires:

  1. Bravo pour ce blog et merci d'honorer enfin la mémoire d'un grand homme de St Cyprien et du Languedoc Roussillon

    RépondreSupprimer
  2. Pourquoi n'a t-on pas davantage d'explications sur l'affaire de la part de madame BOUILLE ?

    RépondreSupprimer
  3. Contrairement à d'autres, Mme Bouille s'est efforcée de respecter le déroulement de la procédure : il paraît logique de ne pas s'exprimer au sujet de l'affaire tant que l'instruction est en cours. Il faut donc laisser dire n'importe quoi en attendant, endurer les pires ragots, insultes ou allégations... et en toute impunité (car engager des poursuites n'est pas chose aisée et le mal est fait longtemps avant que l'issue n'arrive. C'est souvent le but, d'ailleurs...). Voilà le triste fonctionnement de la justice, celui-là même qui plonge les inculpés dans le désespoir.
    Cependant, devant l'irrespect et le viol constant de la loi dans cette affaire et ses conséquences désastreuses, on pourrait effectivement en arriver à adopter une autre attitude.

    RépondreSupprimer
  4. Tant de mises en examens. Cela n'est pas plausible.

    Mise en examen = vie brisée. Les personnes qui ordonnent ces mesures devraient en cas d'échec voir leurs sanctions se retourner contre elles.

    RépondreSupprimer
  5. Bonsoir, escuser ma question, pourquoi les organes de Mr Bouille sont ils sous scellé, en quoi cela est utile a l'enquete?

    RépondreSupprimer
  6. C'est une excellente question qui a été posée à la justice, laquelle n'a pas répondu pour l'instant.

    RépondreSupprimer
  7. Pascale, votre commentaire a bien été lu. Vous comprendrez qu'il ne puisse pour autant être publié dans son intégralité : il contient des propos à l'égard de certaines personnes qui pourraient être considérés comme ayant un caractère diffamatoire et vous être reprochés. Merci, cependant, pour votre témoignage concernant le fait que M. Bouille a, selon vous, "toujours été proche des citoyens de Saint Cyprien".

    RépondreSupprimer
  8. j'ai assisté aux voeux du Maire 2010, les voeux de Mr Bouille étaient bien meilleurs sous tous rapport. Je vous souhaite tout de meme mes meilleurs voeux a vous et vos 2 enfants.

    RépondreSupprimer
  9. La famille vous remercie, Pascale, et vous présente également ses meilleurs voeux.

    RépondreSupprimer
  10. Je trouvais , il y a quelques mois, cette mise en détention totalement disproportionnée et presque illégale. Après avoir lu ce blog, je découvre une justice cruelle et à deux vitesses;M. Bouille quelque soit l'endroit où il se trouve, doit se réconforter de sentir que sa famille tente de le réhabiliter. Quant à votre amour, je pense qu'il n'en a jamais douter. Je vous soutien moralement et vous souhaite beaucoup de courage et de persévérence.

    Fatima Pasquier ( mère de Salomé)

    RépondreSupprimer
  11. Merci Fatima pour votre soutien et vos paroles. Prenez soin de vous-même et de votre famille.

    RépondreSupprimer
  12. Il ne méritait pas de partir ainsi, personne d'ailleurs,
    je ne suis pas sur qu'il méritait d'aller en détention non plus,
    Mais s'inquiétait-il de l'état de nos prisons, des détenus qui s'y déhumanisent ? non, c'était le cadet de ses soucis. Avant de perdre un proche sur la route, on ne milite pas dans une association pour la sécurité routière.
    Mais ce qu'il a pu faire de bien ne pardonne en rien ses dérapages.

    RépondreSupprimer
  13. Vous avez très certainement raison : J. Bouille -ni personne- ne méritait pas de partir ainsi, et sa très longue période de détention dite provisoire, sur le sens de laquelle on peut effectivement s’interroger, est sans aucun doute à l’origine de sa fin prématurée. La détention provisoire n’est pas une obligation. Pour lui, la justice en a décidé autrement.
    Cependant, comment pouvez-vous affirmer, comme vous le faites, que le milieu carcéral et les détenus étaient le « cadet de ses soucis » ? Vous généralisez, et cela prouve que vous ne le connaissiez pas, comme beaucoup de ceux qui se sont exprimé à son sujet depuis le début de l’affaire (ou qui continuent, d’ailleurs). J. Bouille n’a pas attendu d’être incarcéré pour se soucier de ses semblables. En sa qualité de médecin, d’abord, il s’est toujours préoccupé des êtres humains (quels que soient leur passé, leurs erreurs, leurs difficultés), de leur santé, physique et psychologique. Il écoutait chacun, cherchait à lui apporter son aide et proposait des solutions.
    En tant qu’élu, ensuite, il a, malgré les réticences de certains de ses conseillers municipaux, reçu sur la commune des prisonniers et leur a permis d'exercer des travaux d'utilité publique (comme d’autres municipalités, bien entendu, mais ce sont des choix que l’on fait ou non). Ceci car il était parfaitement conscient de l'importance du travail pour la dignité de l'homme. Il en était persuadé pour lui-même, avant et pendant son emprisonnement. Il l'a dit publiquement, lors de sa première comparution en appel à Montpellier en février 2009 où il a expliqué que l’enfermement, et l’état d’inutilité auquel il le réduisait, faisait naître en lui des tendances suicidaires. Il n’a pas été entendu. Il n’a jamais été écouté. Pourquoi ?
    Enfin, comment nier qu’il a beaucoup fait, beaucoup travaillé pour sa commune. Certes, ses actions peuvent plaire ou déplaire, mais elles témoignent de son souci de bien faire et de faire avancer les choses (voir les posts concernant les réalisations). N’a-t-on pas, à ce propos, annoncé il y a peu que le patrimoine acquis par la commune ferait l’objet d’expositions dans un avenir proche ? Il le mérite bien…
    Quant aux « dérapages » dont vous parlez, ils relèvent toujours aujourd’hui du domaine de la présomption et de l’allégation (« la justice fait son travail », dit-on... à propos duquel il n’est permis de rien dire). Oublier cela, comme ça l’a été depuis le début de cette affaire, par la presse et la justice elle-même, c’est se moquer de la « présomption d’innocence », qui est, cependant, un droit, pour tout individu (le code de procédure pénale dans son Article Préliminaire (L. n°2000-516 du 15/06/2000) affirme au III : "Toute personne suspectée ou poursuivie est présumée innocente tant que sa culpabilité n'a pas été établie..."). Pour J. Bouille, la présomption d'innocence n'a pas été respectée. Que n'a-t-on pas dit sur lui, alors qu’il n’avait pas la possibilité de répliquer ! Quelle présentation justice et presse n’ont-elles pas faite d’un homme auquel elles ne connaissaient rien mais à propos duquel elles (et certains plus particulièrement) voulaient soudain tant dire ! Juger par avance, c’est condamner sur des préjugés. Cela tient-il debout ? Est-ce comme cela que fonctionne notre justice ?
    Comment peut-on se satisfaire d’avoir oublié que J. Bouille était seulement un être humain comme les autres et, qu’à ce titre seul, il avait avant tout -et a toujours- droit au respect !

    RépondreSupprimer
  14. voila 7 mois que notre chère belle ville tombe dans l'abandon, je suis triste de voire tous ce que Mr Bouille faisait pour l'entretenir, les canards de la prade meurent écrasés au rond point, ils èrent par ci par là, plus personnes ne s'occupent d'eux, je suis malheureuse de voire l'herbe par endroit se propagé 50 cm de haut! les moustiques piquent cette année, personnes ne se soucis de nos problèmes, cette nouvelle municipalitée est incapable en tous, nous allons devenir la ville la plus moche! les gens nous enviaient maintenant ils nous plaignent. Il nous faudrait une machine a revenir dans le passé et effacé l'année 2009!

    RépondreSupprimer
  15. Toutes les réalisations sont belles certes, mais qui a payé ?
    M. Bouille s'arrangeait bien pour payer le moins d'impots possible ...

    RépondreSupprimer
  16. à Anonyme du 13 juillet 2010
    Afin de pouvoir vous répondre plus précisément, peut-être, pourriez-vous préciser votre pensée ?
    Concernant les deux éléments que vous mentionnez :
    _ Il ne faut effectivement pas perdre de vue que les réalisations accomplies par une municipalité répondent aux besoins de la commune et sont développées au fil de plusieurs mandats. Elles sont financées par la commune et/ou le conseil général, la région, des subventions d'état... tout dépend de leur nature (cf : les budgets proposés et votés concernant ces projets).
    _ Jacques Bouille et son épouse ont toujours payé leurs impôts. Il faut sans doute encore préciser (puisque beaucoup de gens l'ignorent ou "l'oublient") que les indemnités d'élu sont soumises à un prélèvement à la source, et c'est le cas pour tous les mandats. Comme tout un chacun, M. et Mme Bouille s'acquittaient de diverses taxes, ont été éventuellement contrôlés, etc... à l'instar de tous les Français qui déclarent leurs revenus et paient des impôts.

    RépondreSupprimer
  17. je peux comprendre que vous vouliez faire condamner moralement l ETAT mais pourquoi avoir demande 1 million d euros, cela peut faire douter?

    RépondreSupprimer
  18. Concernant la somme annoncée. Il va de soi que, pour la famille, il n’est rien de plus absurde. On ne « chiffre » pas la mort de quelqu’un, toute vie humaine est inestimable. Le montant des dommages et intérêts proposé par le rapporteur correspond uniquement au chiffrage du préjudice "moral".
    L'avocat s'est chargé de « calculer » le montant du préjudice "matériel et financier" subi par notre famille et de l’inclure parmi les arguments de notre mémoire. Cela fait partie de la procédure. Mais ce n'était bien évidemment pas le but essentiel de notre démarche.

    RépondreSupprimer